"Ne risque t-on pas d'ouvrir la boîte de Pandore ?", "Nos équipes ne sont pas prêtes", "On ne vas pas maîtriser les dérives", "Il y a plus de risques que d'avantages", "Qui va contrôler ce qui se dit ?", "C'est une responsabilité de Dircom, de DSI ou de DRH ?", "Et la place du manager dans tout ça ?"… autant de réflexions et questions spontanées susceptibles d'être soulevées à l'annonce d'un projet "injectant du 2.0" dans une organisation.
Dans ce contexte de résistance au changement ou en tout cas d'interrogations face à l'inconnu, le premier réflexe est souvent le rejet, l'attentisme ou la procrastination généralisée. La réalisation d'une charte d'utilisation s'avère alors nécessaire (sans être suffisante) à la fois pour apaiser les esprits et définir un cadre formalisé et rassurant des droits et devoirs respectifs. Ce document qui peut autant s'adresser à des usagers internes qu'externes en fonction de la finalité et du périmètre du projet, permet à la fois de rappeler le sens de l'outil et ses bonnes conditions d'utilisation(réglementaires, déontologiques…).
Ce billet de Jean-Luc Raymond sur www.netpublic.fr propose de découvrir 13 exemples de chartes déployées par des institutions et des services publics, tout aussi adaptables pour une entreprise ou une association.
13 chartes d'utilisation des réseaux sociaux par des institutions et services publics
De plus en plus d’institutions et de services publics se dotent de chartes pour l’utilisation des réseaux sociaux. Ces documents didactiques informent les fonctionnaires et les employés sur la …